Paulo Coelho est l’un des auteurs les plus connus au monde.
Ses romans « L’Alchimiste », « Maktub » ou encore « Comme le fleuve qui coule » ont été traduits dans de multiples langues et sont connus aux quatre coins de la planète.
Mais pour la première fois, l’écrivain / traducteur d’origine brésilienne consacre avec le roman « Adultère » un livre :
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Consacré au thème de l’adultère / l’infidélité.
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Et dont l’action se déroule dans la ville où il a habité pendant plus de trente ans : Genève.
Voici justement une sélection de différents passages extraits de ce livre et qui évoquent la citée helvétique (extraits rendus publics sur le site hebdo.ch).
« Une ville différente de toutes les autres qui se sont modernisées et ont perdu leur charme » – « Adultère », page 20.
> Nostalgie et contradictions avec une époque ? Etonnant ! Genève est plutôt une ville cosmopolite et tournée vers l’international …
« Chaque fois que je pars en vacances, cela me manque. (…). Les jardins publics (Ndlr : Le parc des Bastions) avec leurs mystérieuses clôtures en bois dans lesquelles poussent toutes sortes d’herbes… » – « Adultère », page 20.
> La mauvaise herbe, l’infidélité ? Le fait de rester libre (sauvage) et de vivre sa vie comme on l’entend ?
« Je suis devant (…) un monument de 100 mètres de largeur, avec les statues imposantes de quatre hommes (…). L’un d’eux se détache des autres. Il a la tête couverte, une longue barbe, et il tient dans ses mains ce qui à son époque était plus puissant qu’une mitrailleuse: la Bible » – « Adultère », page 176.
> Prégnance des références morales et religieuses en Suisse ?
« Marianne choisit le restaurant de l’Hôtel des Armures, (…) c’est là que tout le monde a coutume d’emmener les visiteurs étrangers » – « Adultère », page 241.
> Etrangers ? Parle t-on de nationalité ? Pas nécessairement …
« Je sors de la voiture (Ndlr : Quai Gustave-Ado), je paie le stationnement pour plus longtemps que nécessaire, ainsi puis-je marcher sans but » – « Adultère », page 253.
> Sans but ? Ou plutôt afin de se laisser surprendre / charmer / emporter … De laisser la porte ouverte à de nouvelles expériences insolites ?
« L’amour change tout le temps (…). Le symbole de Genève (Ndlr : le jet d’eau du lac Léman) est le plus beau monument à l’amour conçu par l’art humain.» – « Adultère », page 273.
> Une référence aux symboles phalliques ?
« Savoir mieux aimer. Cela doit être notre but dans le monde. (…). Parce que disparaîtront les langues, les prophéties, les pays, la solide Confédération helvétique, Genève et la rue où j’habite, la maison où je me trouve maintenant, les meubles du salon… et mon corps aussi disparaîtra. Mais une chose restera à tout jamais marquée dans l’âme de l’Univers : mon amour » …
> Mon amour pour la vie, la liberté, quelqu’un d’autre ?
TOUTES LES REPONSES A CES QUESTIONS DANS LE LIVRE « ADULTERE » DE PAULO COELLO !